En acoustique environnementale, il est souvent très rare d'associer une nuisance sonore à une seule source de bruit. Le problème concerne principalement les nuisances sonores issues des milieux industriels ou tertiaires ou de nombreux équipements fonctionnent simultanément soit de manière synchrone (en même temps) ou de manière asynchrone (c'est-à-dire sur des plages de temps différentes). La tentation est grande de vouloir traiter uniquement certaines sources sonores tant pour des questions de facilité technique que pour des questions financières. Mais attention, cette démarche est trompeuse et peu conduire… à ne rien améliorer du tout ! 

Pourquoi traiter les sources de bruit prédominantes

En acoustique environnementale, il est souvent très rare d'associer une nuisance sonore à une seule source de bruit. Le problème concerne principalement les nuisances sonores issues des milieux industriels ou tertiaires ou de nombreux équipements fonctionnent simultanément soit de manière synchrone (en même temps) ou de manière asynchrone (c'est-à-dire sur des plages de temps différentes). La tentation est grande de vouloir traiter uniquement certaines sources sonores tant pour des questions de facilité technique que pour des questions financières. Mais attention, cette démarche est trompeuse et peu conduire… à ne rien améliorer du tout ! ...

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Dès lors qu'une gêne ou une nuisance sonore survient, il est tentant de pouvoir la caractériser aussitôt et avec le plus de précision possible. Outre la période horaire et la fréquence d'apparition des nuisances acoustiques, il est nécessaire de connaître la valeur chiffrée du niveau sonore en décibel dans le but d'engager un dialogue ou de prouver un désagrément lié à un bruit en particulier. Chacun dispose de l'arme magique, dans ce cas « LE SMARTPHONE». Ses multiples applications Android ou iOS proposent aussi de transformer, «son meilleur ami...»,  en un sonomètre. Cette application a le grand mérite de sensibiliser l’utilisateur à la gêne sonore de son environnement. Néanmoins, elle présente de nombreuses limites techniques et métrologiques au point que leur utilisateur finit toujours par contacter un bureau d'études acoustiques.

Mesurer les nuisances acoustiques avec un smartphone

Dès lors qu'une gêne ou une nuisance sonore survient, il est tentant de pouvoir la caractériser aussitôt et avec le plus de précision possible. Outre la période horaire et la fréquence d'apparition des nuisances acoustiques, il est nécessaire de connaître la valeur chiffrée du niveau sonore en décibel dans le but d'engager un dialogue ou de prouver un désagrément lié à un bruit en particulier. Chacun dispose de l'arme magique, dans ce cas « LE SMARTPHONE». Ses multiples applications Android ou iOS proposent aussi de transformer, «son meilleur ami...»,  en un sonomètre. Cette application a le grand mérite de sensibiliser l’utilisateur à la gêne sonore de son environnement. Néanmoins, elle présente de nombreuses limites techniques et métrologiques au point que leur utilisateur finit toujours par contacter un bureau d'études acoustiques....

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L'expression du niveau de pression acoustique dans l'environnement est généralement exprimé en dB, ou décibel pondéré A, abrégé dB(A) pour un point donné. Mais que ce cache-t-il précisément derrière ces deux expressions.

L'utilisation du décibel (dB) pour décrire le niveau de bruit

L'expression du niveau de pression acoustique dans l'environnement est généralement exprimé en dB, ou décibel pondéré A, abrégé dB(A) pour un point donné. Mais que ce cache-t-il précisément derrière ces deux expressions....

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